Ce blog se morfond. Il est moribond, "subclaquant"! Pourquoi donc, vous demandez vous judicieusement, lecteurs/trices fidèles? Une réponse facile et presque vraie serait que pendant une bonne partie de ma non activité moi aussi j'étais moribonde, subclaquante et me morfondant. Mon taquin rein droit s'est joliment infecté et m'a mis dans un état assez pitoyable les derniers jours. Aujourd'hui, je ne passe pas la journée au lit, d'ailleurs je suis debout et active depuis 7h du mat (ça méritera une sieste tout ça) mais c'est bien la première fois depuis vendredi dernier. Ce jour fatidique, juste arrivée à l'université, je suis prise d'une grosse douleur dans le flanc droit, et après avoir expédié le meeting que je devais tenir, commence mon calvaire. Le système danois de santé est très bon, mais là en l'occurrence je ne pouvais avoir de rendez-vous au médecin avant lundi, et donc décida de rentrer me reposer tranquillement, Aurélien prenant soin de moi....
Aurélien, lui était arrivé lundi dernier dans la soirée. Avant que je ne tombe malade (oui, ce post saute dans tout les sens et tout les temps) j'ai pu voir Aurélien sérieusement souffrir du froid danois auquel je me suis habituée. Alors je l'emmenais de pizza place en café, de magasin de comics en abris bus mal isolé... et nous avons passé un 14 février des plus romantiques, avec journée à rien faire, cookies à l'avoine, ballade au bord des étangs en bas de chez moi sur fond de coucher de soleil et de résumé des Rambos et des Rockys, suivi d'un joli diner à la Brasserie St Clemens, place de la cathédrale, dont les parents se souviendront m'y avoir emmené en juillet. Je portais ma nouvelle robe Noa Noa d'un joli vert-roux hihi.
Vendredi donc, ma maladie commence, on croit que ça se calme, vu l'emplacement on craint l'appendicite. Au milieu de la nuit, je vais mal, on appelle les services de santé danois d'urgence, on est redirigé sur un médecin de garde qui me dit que c'est une infection, de quoi, elle sait pas, mais qu'il faut que je boive comme un trou ... Le reste est moins épique, dimanche matin, lundi matin, mardi matin, je me réveille avec plus de 39 de fièvre et me drogue au paracétamol à une vitesse qui fait peur à la pauvre Marisa (qui les prends par 500 et pas par 1000). La doctoresse danoise visitée le lundi avec l'aide précieuse de Petra et Katrin venue me chercher à ma porte et m'accompagnant partout, m'indique que j'ai une belle infection rénale et me prescrit mes premiers antibiotiques depuis, ouhla.
Aurélien lui, a du partir le dimanche, n'aimant pas vraiment me laisser dans l'état légumineux (imaginez un concombre bien juteux, coupé, sous un soleil de plomb...).
Les antibiotiques et moi on se découvre. Ces gros ces trucs. Au début j'arrive pas à manger, j'ai du perdre une joue ou deux au passage d'ailleurs, puis du yaourt et enfin des pâtes trop cuites avec du pesto rosso. J'en suis pour l'instant à ce stade là...
Aujourd'hui, comment vais-je? Bonne question...Mieux, bien bien mieux. Mieux qu'hier, j'espère moins bien que demain... je sens plus mon rein, je ressemble de plus en plus à moi même (une bonne douche aidera)... alors, demain, la France? Pas encore décidé, mais... pourquoi pas...
Aurélien, lui était arrivé lundi dernier dans la soirée. Avant que je ne tombe malade (oui, ce post saute dans tout les sens et tout les temps) j'ai pu voir Aurélien sérieusement souffrir du froid danois auquel je me suis habituée. Alors je l'emmenais de pizza place en café, de magasin de comics en abris bus mal isolé... et nous avons passé un 14 février des plus romantiques, avec journée à rien faire, cookies à l'avoine, ballade au bord des étangs en bas de chez moi sur fond de coucher de soleil et de résumé des Rambos et des Rockys, suivi d'un joli diner à la Brasserie St Clemens, place de la cathédrale, dont les parents se souviendront m'y avoir emmené en juillet. Je portais ma nouvelle robe Noa Noa d'un joli vert-roux hihi.
Vendredi donc, ma maladie commence, on croit que ça se calme, vu l'emplacement on craint l'appendicite. Au milieu de la nuit, je vais mal, on appelle les services de santé danois d'urgence, on est redirigé sur un médecin de garde qui me dit que c'est une infection, de quoi, elle sait pas, mais qu'il faut que je boive comme un trou ... Le reste est moins épique, dimanche matin, lundi matin, mardi matin, je me réveille avec plus de 39 de fièvre et me drogue au paracétamol à une vitesse qui fait peur à la pauvre Marisa (qui les prends par 500 et pas par 1000). La doctoresse danoise visitée le lundi avec l'aide précieuse de Petra et Katrin venue me chercher à ma porte et m'accompagnant partout, m'indique que j'ai une belle infection rénale et me prescrit mes premiers antibiotiques depuis, ouhla.
Aurélien lui, a du partir le dimanche, n'aimant pas vraiment me laisser dans l'état légumineux (imaginez un concombre bien juteux, coupé, sous un soleil de plomb...).
Les antibiotiques et moi on se découvre. Ces gros ces trucs. Au début j'arrive pas à manger, j'ai du perdre une joue ou deux au passage d'ailleurs, puis du yaourt et enfin des pâtes trop cuites avec du pesto rosso. J'en suis pour l'instant à ce stade là...
Aujourd'hui, comment vais-je? Bonne question...Mieux, bien bien mieux. Mieux qu'hier, j'espère moins bien que demain... je sens plus mon rein, je ressemble de plus en plus à moi même (une bonne douche aidera)... alors, demain, la France? Pas encore décidé, mais... pourquoi pas...
1 commentaire:
Ma pauvre Vivi !!! :S:S:S (Prononder "Pouuuuurre" en roulant le 'r' final)
Bon retablissement ! :) Et un gros bisou.
(Et merciii pour ta, non tes !, cartes postales qui nm'ont fait trop plaisir :):):) ) (Et tu as la palme de l'exclusivite lol Eh oui t'es ma premiere carte hihi)
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