Me voilà à l'université, sur un ordinateur danois où j'ai maîtrisé les accents. Je ne suis pas peu fière, mais c'est long à écrire tout de même. Lecteur avisé, tu te demandes sûrement ce que je fais ici, un samedi après-midi, au deuxième étage du bâtiment de Statskundkab, à m'escrimer avec un clavier revêche. Peut-être, subsumes-tu, en faisant référence au titre de ce message, m’imagines-tu réfugiée, à l’abri de vilains éléments. Pourtant, il fait super beau dehors. Un peu fraichou, mais cela ne nous à pas empêcher, à Laurentiu et moi-même de manger sur une table au milieu du campus qui nous faisait de l’œil depuis longtemps.
Alors, pourquoi ? Tu ne lâches pas prise aisément lecteur, à ce que je vois. Eh bien tout simplement, j’ai renversé du thé sur mon fidele Acer, et la brave bête ne me réponds plus. Lorsque je viens m’enquérir de son état, elle gémit d’une manière tant effrayante que je rebrousse chemin. Alors, j’attends qu’il sèche, en espérant qu’il remarche un jour…
Tout ca est pas pratique (le c cédille je ne maîtrise pas encore…) vu que j’ai une charge de travail respectable. Mais bon, on se débrouille et l’université regorge de gentils ordinateurs sans thé à proximité.
Que d’eau que d’eau aussi, car le temps danois le printemps venu est encore plus taquin que le breton. Tout comme le vent danois qui me surprend tout les jours, cette atrocité frigorifiant le moindre centimètre carré non couvert de 5 couches… Hier, il y avait un mélange de pluie et de neige, et la veille la pluie m’a tenue éveillée bien longtemps… On m’a parlé de tempêtes de neiges en Avril, et le pire c’est que ce n’était pas une blague…
Et l’eau écossaise je la retrouverais pour quelque jours, allant visiter mes chères expats Béatrice et Camille à Glasgow de lundi à vendredi….
Alors, pourquoi ? Tu ne lâches pas prise aisément lecteur, à ce que je vois. Eh bien tout simplement, j’ai renversé du thé sur mon fidele Acer, et la brave bête ne me réponds plus. Lorsque je viens m’enquérir de son état, elle gémit d’une manière tant effrayante que je rebrousse chemin. Alors, j’attends qu’il sèche, en espérant qu’il remarche un jour…
Tout ca est pas pratique (le c cédille je ne maîtrise pas encore…) vu que j’ai une charge de travail respectable. Mais bon, on se débrouille et l’université regorge de gentils ordinateurs sans thé à proximité.
Que d’eau que d’eau aussi, car le temps danois le printemps venu est encore plus taquin que le breton. Tout comme le vent danois qui me surprend tout les jours, cette atrocité frigorifiant le moindre centimètre carré non couvert de 5 couches… Hier, il y avait un mélange de pluie et de neige, et la veille la pluie m’a tenue éveillée bien longtemps… On m’a parlé de tempêtes de neiges en Avril, et le pire c’est que ce n’était pas une blague…
Et l’eau écossaise je la retrouverais pour quelque jours, allant visiter mes chères expats Béatrice et Camille à Glasgow de lundi à vendredi….
1 commentaire:
sans thé, c'est la santé!!!
A TRES BIENTÔT VOUNETTE
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